» Catch My Story » swiss metal band from Valais. Close to the summits of Alps, and european metal…story ?
Hommage à Nilda Fernandez
Merveilleux concert au Divan du Monde du 13 décembre 2014…
“Bootlegger” s’écarte des DVD live habituels. Deux caméras fixes et cinq à l’épaule, étalonnées comme des smartphones voleurs d’images, témoignent des émotions qui traversent le public. Les changements d’ambiance, de plan et de langue créent une sensation d’immersion totale. “Bootlegger” débute de façon insolite lorsque Nilda, assis devant le bar, chante Madrid Madrid au milieu d’un public surpris mais ravi. Son interprétation de Nos Fiançailles vous surprendra également. “Bootlegger” fait découvrir des textes ciselés évoquant des souvenirs d’enfance , un amour pour la France et des choix d’artiste. Les compositions sont toujours aussi évidentes que recherchées. Quant à la voix, elle se fait plus ardente encore que d’habitude au son des guitares électriques. “Bootlegger” est un objet artistique à part entière dont la pochette et le livret sont signés par Jacques de Loustal.
Salut l’ami, salut l’artiste. Je garde avec moi ces moments uniques partagés avec ton public ce soir-là. L’after fût d’une formidable simplicité …
http://www.nildafernandez.com/fr/content/75-nos-hommages
« Nos hommages » : hommage à Nilda Fernández, samedi 15 juin au théâtre Bobino (Paris 14è)
Le 19 mai dernier, Nilda Fernández nous quittait.Devant l’émotion suscitée par sa disparition, les messages du public et de nombreux artistes, sa famille a choisi d’organiser au théâtre Bobino un événement intitulé « Nos hommages », en référence à l’album « Mes hommages » publié il y a vingt ans et dans lequel Nilda Fernández reprenait les chansons françaises qui avaient marqué sa vie.
Parmi les invités, seront notamment présents Claude Lemesle, Georges Lang, Nikos Aliagas, Didier Varrod, Christophe Fourel, Jean-Claude Pietrocola, Françoise Miran, Tito el Frances, Nina Morato, Manon Dejacques.
Entre les souvenirs, les hommages parlés et les vidéos où Nilda s’exprime et chante, ses musiciens, acolytes de toujours, Gilles Coquard à la basse et Marcel Loeffler à l’accordéon, joueront des instrumentaux. Le guitariste Daniel Barba Moreno apportera « un toque » flamenco, rejoint par la danseuse Rajenka Romanes sur « Laseñorita delabanico ».
Côté chanson, l’hommage portera, lui aussi, les couleurs dumonde, géographiques et artistiques, chères à Nilda: Marc Fichel chantera « Le Sud », Patrizia Poli viendra de Bastia pour interpréter « Gracias a la vida », William Baldé chantera « le destin » en wolof, Tristan Nihouarn de « Matmatah » rappellera les goûts anglosaxons de Nilda avec une « Redemption Song » de Bob Marley ou « Working class hero » de John Lennon.
Après quelques poèmes de Federico Garcia Lorca ou de Baudelaire, lus par Charles Gonzalès et Elie Axas, Jil Aigrot honorera les pages Piaf de Nilda, »chanteur français », avec Milord et La vie en rose.
Pia Moustaki partagera ses souvenirs de l’amitié profonde entre Georges, son papa, et Nilda avant de chanter une chanson a capella.
L’entrée est gratuite sur réservation :
Par téléphone : 01 43 27 24 24 ou
En ligne : http://bit.ly/31sBqfY
Un numéro sur ma peau
« Un N° sur ma peau ». Ou l’histoire de tatoué(e)s particulier(e)s celles et ceux du camp d’extermination d’Auschwitz. Des survivants de l’enfer. Qui aujourd’hui témoignent. Leurs numéros sont visibles encore sur l’avant bras, cachant des moments violents, insoutenables de la vie d’antan. Que dis-je de la survie d’avant. D’autres numéros sont invisibles aux yeux de l’humain, tatoués au creux du coeur.
Parfois, le monde est un grand camp d’extermination où seul l’espoir d’un renouveau existe. Au-delà des apparences, des à priori, seul le coeur des hommes compte. Un documentaire vivifiant…
Un numéro sur ma peau Réalisation Uriel Sinai, Dana Doron (Israël)-2012 visible jusqu’au 29 janvier 2017.
Le pollen (Pierre Barouh) 1983
Une pépite musicale en guise d’hommage, feutré, doux, sensible. Pierre Barouh n’est plus. Tant d’hommes partis, tant de conquérants de l’utile enfuis dans la nuit. Des musiques, des textes, si puissants et fragiles à la fois, hymnes à la vie, qui encore au-delà des songes, des cauchemars parfois, berceront nos vies de terriens for ever. See you, mister Barouh…
Young & moi
Sophie Nahum, la réalisatrice et Tomer Sisley nous emmènent sur les traces de Victor Young Perez, boxeur tunisien des années trente, champion du monde. Dont le chemin de vie s’achève lors de la Marche à la mort en 1945 des déportés d’Auschwitz. Un documentaire puissant. Qui va au-delà du simple témoignage sur l’univers concentrationnaire, la barbarie nazie. Il amène à réfléchir sur l’indispensable travail de mémoire et le rôle de…l’historien !
https://www.youtube.com/watch?v=6hfB_bed6Ak
Disparition de Martin Gray témoin de notre siècle.
Martin Gray nous a quitté hier, le 25 avril 2016 à la veille de ses quatre vingt quatorze ans. Cette vidéo est un hommage à celui que j’ai rencontré il y a presque trente ans. Par le biais de son best-seller « Au nom de tous les miens ». Puis d’autres ensuite. Son itinéraire est celui d’un Homme toujours debout malgré les épreuves. Qui l’ont, non endurci mais rendu plus humain. » Triompher du destin » quelques mots parmi les milliers qu’il a écrit qu’il a fait siens. Que je tente au quotidien de faire miens et de partager. « Au nom de tous les miens ».
GG GIBSON A BOURG EN BRESSE LE 24 FEVRIER 2016
Du Blues on the Rock pour éviter d’avoir le blues … A consommer sans modération.
https://www.facebook.com/events/1680889705502120/
GG GIBSON
La nuit tombe
Des airs de musiques pop encensent l’air,
Tu me manques, c’est clair.
Souvenirs au gré de mes humeurs,
Images floutées, peurs.
Un ruisseau coule vers la mer,
Des tombes éparpillées sur la colline, une stèle,
Une ombre en contre jour,
Vent mauvais, vent mouillé, vent amer.
Etrange sentiment d’errance, tu n’es plus là, frayeur,
Tu me manques, j’ai peur.
Des airs de musique pop adoucissent la douleur,
Lancinante, tombant en gouttes de sang, le long de mon cœur.
Le chant du vent dans les arbres se mêle,
A celui de ta voix si belle.
Tes yeux n’éclairent plus ma vie, j’ai peur.
Leur couleur myosotis s’enfuit dans la nuit,
N’en reste qu’une lueur,
Peur de mourir sans bruit.
Pop music tunes incense the air,
I miss you, it is clear.
Memories according to my humors,
Diffuse images, fears.
A brook flows towards the sea,
Graves scattered on the hill, a stele,
A shadow against the light,
Bad wind, wet wind, bitter wind.
Strange feeling of wandering, you are not any more there, fright,
I miss you, I am afraid.
Pop music tunes soften the pain,
Stabbing, falling drops of blood there, along my heart.
The song of the wind in trees gets involved,
In that in your voice so beautiful.
Your eyes do not light any more my life, I am afraid.
Their color forget-me-not runs away at night,
A light stays there only,
Fear of dying noiselessly.
\ » Catch My Story \ » : Swiss metal punk from Valais (not silicone valley) but certainly one of the most powerfull band in Alps. Here we are closed to summits of metal !
\ » Catch My Story \ », swiss metal punk band from Valais. Pleasant discovery, when this metal band touch the summits of European metal as these of Alps !